Salon ESS SUD / Achats responsables

Salon ESS SUD / Achats responsables

Cette année, le salon de l’Économie Sociale et Solidaire, organisé par la CRESS Provence-Alpes-Côte d’Azur se déroulera le 3 novembre 2022 au Palais du Pharo à Marseille.

Ce salon de l’économie d’avenir facilite les relations « acheteur-fournisseur responsables » à travers 4 thématiques d’avenir.

« ESS Sud permet à l’entreprise de promouvoir son modèle d’activités et de renforcer ses valeurs mais aussi d’incarner, de discerner et de développer les coopérations adéquates sur le territoire pour l’économie circulaire et la transition écologique »

Xavier CORVAL, président de l’entreprise sociale EQOSPHERE, administrateur de la CRESS PACA et conseiller Transition écologique / Economie circulaire de son président, administrateur de l’Institut National de l’Économie circulaire

ACHATS SOCIALEMENT ET ÉCOLOGIQUEMENT RESPONSABLE 

« Un achat responsable est un achat dont les impacts environnementaux, sociaux et économiques sont les plus positifs possibles sur toute la durée du cycle de vie et qui aspire à réduire le plus possible les impacts négatifs »

Définition des Achats Responsables de l’ISO 20 400

ÉCONOMIE CIRCULAIRE  

L’économie circulaire est un modèle économique à vision systémique qui consiste à produire des biens et des services de manière durable en limitant la consommation et le gaspillage des ressources et la production des déchets.

Il s’agit de passer d’une société du tout jetable à un modèle économique circulaire.

RSE / RSO

Les enjeux du développement durable, humain et environnemental sont la vocation des entreprises de l’ESS et sont les objectifs de toutes les démarches RSE.

La CRESS PACA ouvre les portes de son salon pour unir les entreprises dont les vocations sont inscrites dans leur statut et celles qui se lancent dans une démarche vertueuse. Afin d’unir enjeux, démarches, idées et mises en place, la 5ème édition de Salon ESS Sud se veut être le lieu d’échange privilégié des professionnels (plus de 1 500 visiteurs par jour), acheteurs privés ou publics.

Les changements de comportement induits par les actions RSO d’une organisation engendrent des réductions d’empreinte environnementale et des coûts financiers grâce aux économies de ressources et à l’optimisation des consommations.

COMMANDE PUBLIQUE SOCIALEMENT ET ÉCOLOGIQUEMENT RESPONSABLE 

  • La commande publique est un levier primordial et un enjeu majeur pour le développement durable.
  • Une diversité d’acteurs sont à la disposition des acheteurs pour favoriser les pratiques et prestations les plus vertueuses.
  • La CRESS SUD s’engage à offrir aux acheteurs publics un lieu d’échange et de RDV B to B permettant de faciliter les rencontres avec les TPE / PME du territoire régional.
  • Plus de 400 rdv ont été honorés sur l’édition 2021 et nous espérons pérenniser les partenariats déjà engendrés et vous permettre d’en réaliser de nouveaux.
  • La CRESS SUD met en place un outil de « matchmaking » facilitant vos prises de rendez-vous.

Si vous souhaitez réserver, contactez : 

Laurent VILLARD (CRESS) — laurent.villard@cresspaca.org — 06 34 32 48 13

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Marseille lauréate du label européen « 100 villes neutres en carbone d’ici 2030 »

Marseille lauréate du label européen « 100 villes neutres en carbone d’ici 2030 »

« C’est un événement-projet important pour le présent et l’avenir de la Ville et de ses environs, une composante essentielle pour construire un modèle de développement spécifique à Marseille.

Les éco-acteurs de la Ville comme EQOSPHERE y contribuent déjà et y contribueront en déployant innovations et coopérations ! »

Xavier CORVAL, président d’EQOSPHERE – Prospectives RSE

EQOSPHERE relaie les contenus qui suivent, produits par la Ville de Marseille

« La Ville de Marseille a été choisie pour participer au programme européen des « Cent villes neutres en carbone d’ici 2030 ».Elle a été sélectionnée parmi les 377 communes qui avaient candidaté, a annoncé, le jeudi 28 avril, la Commission européenne.

Ainsi, Marseille a fait le choix de s’engager avec ses partenaires sur les transports et la mobilité, la réhabilitation thermique du parc immobilier et des équipements publics, la production d’énergie durable, le retour de la nature en ville, la préservation du littoral et de la biodiversité, l’inclusion et l’innovation.

Pour relever ce défi, la Ville de Marseille a coconstruit le projet de candidature et obtenu le soutien de nombreux partenaires, institutionnels, grandes entreprises, associations et centres de recherche dont la Préfecture, la Région, la Métropole, Aix-Marseille Université, le GPMM, la CMA CGM, la CCI, mais aussi France Nature Environnement, Cap au Nord Entreprendre, la Banque des Territoires, le GERES, la LICA ou encore l’Olympique de Marseille.

Cette mobilisation s’est faite également en ligne où tous les Marseillais ont pu soutenir la candidature et porter ainsi, ensemble, l’ambition d’inventer, à Marseille, un nouveau modèle d’interactions entre la ville et la nature.

LE PROGRAMME « 100 VILLES NEUTRES POUR LE CLIMAT D’ICI 2030 PAR LES CITOYENS ET POUR LES CITOYENS », C’EST QUOI ?

Les villes couvrent environ 3% de la terre mais elles produisent plus de 70% des émissions de gaz à effet de serre. Elles sont donc les mieux placées pour engager une démarche de neutralité carbone, en initiant des politiques publiques qui permettent d’atteindre un strict équilibre entre les gaz à effet de serre émis dans l’atmosphère et ceux captés par les puits naturels (forêts, sols, mer) ou artificiels (captage et stockage de CO2). 

À Marseille, près de la moitié des émissions sont causées par le transport et l’utilisation de la voiture (1 031 605 tonnes de CO2 par an). Mais ce sont aussi nos industries, nos modes de production et de consommation d’énergie ainsi que nos habitudes de consommation qui sont émettrices.

Avec l’obtention de ce label, la Ville de Marseille pourra compter sur l’appui de la Commission européenne pour conduire la transition et accompagner la transformation de la ville. 

Cette victoire collective est l’acte fondateur d’une nouvelle ère de transformation écologique qui s’ouvre pour Marseille. Ce projet commun est un moyen historique pour rattraper un retard accumulé depuis de trop longues années, pour lutter contre les inégalités et rétablir un cadre de vie à la hauteur des attentes et des besoins formulés par les Marseillaises et les Marseillais.

Cette labellisation offrira à la Ville de Marseille, en étroite collaboration avec l’ensemble de ses partenaires, l’opportunité de travailler sur des projets concrets dans les prochains mois sur la question du retour de la nature en ville, des transports, sur la réhabilitation thermique du parc immobilier et des équipements publics de la Ville, sur la production d’énergies renouvelables et durables, en passant par l’inclusion citoyenne et l’innovation. Cela s’inscrit dans la continuité de l’action municipale sur la végétalisation des parcs, jardins et écoles, la rénovation des bâtiments et équipements publics de la ville, la lutte contre la pollution de l’air, la promotion des mobilités douces et du tri des déchets ou encore la protection de la biodiversité terrestre et marine. »

Département des Landes x EQOSPHERE

Département des Landes x EQOSPHERE

✨ Le Conseil Départemental des Landes vient de confier à EQOSPHERE, à l’issue d’un appel d’offres, les missions suivantes :

 « Elaboration, conception et animation de formations sur la conduite d’un plan de lutte contre le gaspillage alimentaire dans la restauration collective ».

🍽 L’initiative du département des Landes s’inscrit dans une dynamique large et ambitieuse qui porte à la fois sur la réduction des déchets et les objectifs des projets alimentaires territoriaux pour les restauration collective des établissements scolaires et de santé notamment.

💡 Les formations visent à former à la lutte contre le gaspillage alimentaire les équipes techniques des sites et seront délivrées par l’équipe d’EQOSPHERE aux territoires du département des Landes, soit 24 communautés de communes et/ou agglomérations.

 Elles auront lieu sur deux jours et porteront sur : 

  • La conduite d’un plan de lutte contre le gaspillage alimentaire en restauration collective
  • Les solutions et actions types de réduction et de communication/sensibilisation

Suite à la 1ère journée, les sites réaliseront un diagnostic du gaspillage alimentaire selon la méthodologie d’EQOSPHERE puis un plan d’actions sera co-construit lors de la seconde journée.

EQOSPHERE a développé depuis 2017 des méthodologies d’accompagnement à la réduction du gaspillage et des déchets (alimentaires, contenants, plastiques, …) en restauration collective privée et publique permettant d’accélérer les démarches et d’autonomiser les équipes.

🔍 Nos équipes interviennent sur les sites pour des diagnostics exhaustifs, quantitatifs et qualitatifs. Les analyses des diagnostics donnent lieu à de plans d’actions prioritaires adaptés à chaque site. Le programme doit conduire à des résultats probants au bout d’une année et contribuer à la transformation de la culture et des process des sites. Il permet de d’aller plus loin que la loi EGALIM et de dégager des marges financières pour compenser l’augmentation actuelle des coûts d’approvisionnements, du fait de l’inflation et des obligations d’achats de produits sous signe de qualité et bio.

🔗 www.eqosphere.com/programmes-solutions/

🎓 L’organisme de formation d’EQOSPHERE – Prospectives RSE est certifié QUALIOPI.

Il s’adresse à différents secteurs d’activité — grande distribution, secteur événementiel, restauration collective … — et permet de développer les compétences professionnelles des collaborateurs su des enjeux de RSE/RSO. Les formations sont 100% finançables par les OPCO / OPCA.

🔗 www.eqosphere.com/programmes-solutions/formation-sensibilisation

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Le jour du Dépassement de la Terre cette année

Le jour du Dépassement de la Terre cette année

Cette année, le jour du dépassement de la Terre intervient le 28 juillet 2022, dans un contexte marqué par des phénomènes climatiques extrêmes (sécheresses, canicules, feux de forêts). Si le système agricole et alimentaire subit de plein fouet les conséquences du changement climatique et l’effondrement de la biodiversité, le modèle actuel est également l’un des principaux responsables de la surexploitation des ressources et contribue fortement à ce dépassement. La preuve cette année en chiffres et en images.

« La sécurité des ressources écologiques est en train de devenir un paramètre essentiel de la puissance économique. Il est dans l’intérêt de chaque ville, entreprise ou pays de protéger sa propre capacité à fonctionner dans un monde rendu de plus en plus prévisible par le changement climatique et les limites intrinsèques de ces ressources. » 

Mathis Wackernagel, fondateur de Global Footprint Network

Le jour du dépassement, c’est quoi ?

Calculée par le Global Footprint Network, la date du 28 juillet correspond à la date à partir de laquelle l’humanité a consommé (empreinte écologique) l’ensemble des ressources que la Terre peut reconstituer en une année (biocapacité). Autrement dit : pour régénérer ce que l’humanité consomme aujourd’hui, il nous faudrait l’équivalent de “1,75 Terre” en termes de surface. A partir d’aujourd’hui, nous vivrons 5 mois dans le rouge en entamant le capital naturel nécessaire au maintien de la vie sur Terre.